Les parasites contre le peuple

Pour s’opposer à l’évacuation imminente de la jungle de Calais, 260 « organisations et personnalités » ont signé une lettre ouverte à Cazeneuve. Qui trouve-t-on dans cette liste ? Quelques élus d’extrême-gauche écologiste, des cinéaste, une palanquée de profs, quelques responsables associatif et de vagues « artistes ». Bref, que des gens qui vivent de nos impôts et qui ne songent pas une seconde à venir acheter une maison en face de cette fameuse jungle. Toujours la charité sur le dos des autres, qui est le fait d’une poignée de saltimbanques et de clercs, demi-intellectuels inconnus, tous soutiens indéfectible du régime qui les payent. Ils se prennent évidemment pour des résistants, alors qu’ils sont, comme de tous temps, les éternels collabos du régime, quel qu’il soit. Hier, c’était Sartre demandant respectueusement à la kommandantur l’autorisation de faire jouer une pièce, aujourd’hui, ce sont ces parvenus de l’intelligence et amuseurs de seconde zone qui viennent défendre l’envahisseur contre l’autochtone.

Tous ont le même profil : non pas hommes d’action, entrepreneurs, mais rats de bureaux et d’amphithéâtre ou frimeurs de la « culture ». Des parasites, des incapables, qui non content de ne savoir exercer une profession réellement productives, se posent en donneur de leçons. Des gens dont la carrière autant que la position sociale ne connaissent pas le risque. Bref, pour le dire simplement, des branleurs.

La palme revient au comédien anglais Jude Law venu en personne soutenir les clandestins à Calais. Voila un acteur riche à millions qui ne veut rien tant que des miséreux restent dans leur taudis en emmerdant les pauvres qui habitent dans le voisinage. Évidemment, lui ne se déplace certainement jamais que de palace en palace, avec gardes du corps et chauffeur. Sommet d’hypocrisie et de mépris tout autant que d’aveuglement d’un millionnaire ultra-protégé. Je ne nie pas son talent, et je ne lui en veut pas de l’avoir converti en espèces sonnantes et trébuchantes, mais j’aimerais qu’il reste chez lui à jouir de son fric plutôt que de venir nous emmerder. J’ai déjà dit ce que je pensais des comédiens. L’Église refusait de les enterrer, je commence à croire qu’elle avait bien raison : ces gens sont des bouffons qui ne devraient jamais être considérés autrement. La starisation leur fait perdre la tête, et ils s’imaginent avoir une importance hors de leur champ de compétence, ce qui est néfaste au plus haut point. Ce sont des cons, ne l’oublions pas.

En grec, acteur se disait hupocrites – ce qui a donné le beau mot d’hypocrite, comme vous l’avez bien compris.

3 réflexions sur « Les parasites contre le peuple »

  1. A la frontière du supportable en effet que cette bobocratie subventionnée qui a décrété que sa parole était indispensable aux destinées du monde.
    Je partage tout de votre consternation, sans réserve.

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  2. Allons allons, voyez le bon côté des choses
    Ces crétins s’autodesignent au bras de la populace excédée
    Le seul problème, c’est que la populace en question met un peu de temps à leur faire savoir

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  3. Tiens, y en a une, là dedans, qui se nommé  »kerzhero » soit  »chez zéro » ( en breton souchard) et qui est »master en danse »
    Y a-t-il quelqu’un qui puisse m’expliquer ce qu’est un  »master en danse » et son utilité zosiale ?
    Ça se mange ?
    Ça se met en conserve pour les jours sombres?
    Ça s’expose sur les étagères pour l’édification des enfants des écoles ?
    Sans mentir ,jamais j’aurais cru qu’on puisse aller si loin dans le culte de l’inutilité et du clinquant
    Dans Molière, du moins, monsieur Jourdain à un  »maître de danse »
    Pas un  »master en danse »

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