Décidément, le régime n’a pas de chance. Il nous avait concocté une bonne petite semaine de propagande antiraciste intensive, avec films à l’appui, histoire de bien nous laver le cerveau – et surtout celui des enfants, puisque l’initiative dure toute une semaine dans l’école publique (vous savez, cette école où nos élites n’enverraient leurs enfants pour rien au monde.) Et là, boum ! Des méchants terroristes attaquent Bruxelles, et il est quand même difficile d’occulter complètement le lien de ces types avec l’islam et l’immigration. Non pas que les médias et le gouvernement ne s’y emploient activement, le fade Cazeneuve en tête, mais quand même, les gens vont finir par avoir des doutes et pourraient même lancer un truc du genre #stopislam sur twitter. Vous imaginer le bordel ?
Ne nous leurrons pas, c’est une bonne occasion pour en remettre une couche dans l’antiracisme officiel, et ce avec le soutien spontané des bobos et autres bisounours imbéciles qui se font des câlins et agitent de jolies pancartes ou font des dessins à la craie sur le sol. Génial, 30 ans de lavage de cerveau a réussi à faire régresser une population à l’âge mental de la cour de récré, version grande section de maternelle. En face, les djihadistes font presque figure de génies avec leur attitude d’ados rebelles frustrés et dangereusement cinglés.
Mais enfin, il faut regarder les choses en face : nos élites, quand elles lancent ce genre de campagne à grand renfort d’argent public (3 millions, c’est nous qui payons), savent très bien qu’il n’y a pas de racisme à combattre. Je n’ai pas regardé les films, je suis un peu las de 30 ans de propagande et je n’avais pas envie de me faire du mal inutilement, mais j’ai consulté suffisamment de blogs qui en décrivent la teneur. Ce que nos dirigeants appellent « racisme », et contre quoi ils luttent, c’est en fait l’agacement et la colère d’une population autochtone encore majoritaire qui voit les allogènes se comporter tous les jours d’une façon extrêmement déplaisante. Le but, c’est de culpabiliser les blancs. Le message, c’est « fermez vos gueules et tenez-vous tranquilles, sinon, il vous en cuira ». Toute la caste politico-médiatique sait bien que ce racisme contre lequel elle lutte est un croquemitaine, et pour cause : c’est elle qui l’a inventée. Et pourquoi a-t-elle besoin que les blancs se tiennent tranquilles, puisqu’elle les détestent et qu’elle semble si bien s’accommoder des allogènes (qu’elle méprise cordialement par ailleurs) ? Tout simplement parce que les blancs payent. Nous sommes la ressource principale de la caste politico-médiatique. Il leur faut que nous nous tenions tranquille. Qu’on bosse et qu’on paye.
Manque de pot, les attentats viennent les gêner aux entournures. Pas de chance pour eux. Mais pas de chance pour nous non plus : il semble qu’une fois encore, l’apathie prenne rapidement le pas sur la colère.